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  • af Matthia Lobke
    242,95 kr.

    Lumière, structure, ligne, ombre = photographie Detlef Orlopp (*1937) a débuté en 1955 son apprentissage de photographe et aujourd'hui, 70 ans plus tard, l'artiste a derrière lui une oeuvre éclatante. Jusque 1973, il a aussi été professeur à l'école d'arts appliqués (Werkkunstschule) de Krefeld. En 2015, le musée Folkwang d'Essen lui achète une part importante de ses archives. Entièrement voué à la photographie analogique en noir et blanc, l'artiste « peint » avec la lumière, la structure, la ligne et l'ombrage dans le champ thématique des paysages et des portraits. Il choisit des détails de la surface de la terre dont il dissimule l'origine matérielle et réduit l'immensité à la perspective en profondeur de la surface. La comparaison insuffisante de grandeurs donne naissance à un ordre nouveau de l'image que le degré d'abstraction affranchit au niveau des formes. Les détails de paysages de Detlef Orlopp ne sont ancrés ni dans le temps ni dans l'espace, ce sont des abstractions reconverties en éléments imagés structurels. Ils ancrent l'artiste dans l'art moderne du 20 e  siècle. Le tachisme de Wol, la structure « all-over » des drippings de Jackson Pollock, la gestuelle d'un Hans Hartung dont il a notamment vu le travail à Documenta 2 ont prescrit la ligne et la structure de ses images photographiques qui font souvent l'effet de traits de pinceau. Le cahier grand format « Partout nos traits éclatent » (Überall splittern unsere Gesichtszüge) paru à l'occasion de l'exposition montre pour la première fois des travaux de la série des glaciers.     Exposition : Kunstverein Heilbronn, 24/2 - 5/5/2024

  • af Barbara J. Scheuermann
    242,95 kr.

    Le (cauchemar) de l'homme parfait Louisa Clement s'intéresse dans son travail à la question de la présence humaine dans l'artificiel ou, le cas échéant, à la présence de l'artificiel dans l'humain. Elle a d'abord fait sensation avec son oeuvre « Représentantes » (Repräsentantinnen) (2021) où elle fait intervenir 10 clones robotisés qui, en plus d'une ressemblance parfaite avec elle, disposaient par le biais de la technologie d'un accès à toutes les informations et données personnelles la concernant. L'IA leur permettait d'imiter l'artiste et de la reproduire le plus fidèlement possible jusqu'à en devenir les revenants, pourtant dotés chacun d'une vie propre. Louisa Clement a aussitôt été élue à l'unanimité pour le prix d'art de la ville de Bonn 2023 : « Malgré sa jeunesse, l'artiste Louisa Clement a déjà créé une oeuvre à la force et la cohérence exceptionnelles... et a convaincu [le jury avec son] projet [inédit] qui se situe à la jonction de l'art et de la science, tout en traitant des sujets d'actualité brûlants tels que le rapport entre l'homme et l'intelligence artificielle, l'individu et l'algorithme, l'expérience et le flux de données. » Pour l'exposition au Kunstmuseum de Bonn (22.2-16.6.2024), elle développera et perfectionnera son travail actuel intitulé « Compression » (2023), une capsule métallique de 2 cm de haut qui contient un ADN synthétique généré à partir des jeux de données tirées de l'oeuvre complet de l'artiste jusqu'à aujourd'hui et doit le conserver pendant 1000 ans. Exposition : Kunstmuseum Bonn, 22/2 - 16/6/2024

  • af Julius Osman
    242,95 kr.

    Hannover - Mont Ventoux Avec Christian Ratschlag, son lauréat 2023, le PRIX SPRENGEL poursuit sans dévier dans la nouvelle direction engagée en 2021. Lancé par Bernhard et Margrit Sprengel en 1979, la responsabilité en a été transférée à la fondation de la caisse d'épargne de Basse-Saxe Niedersächsische Sparkassenstiftung en 1991 et il est géré et attribué conjointement par la Niedersächsische Sparkassenstiftung et le ministère de la science et de la culture (MWK) de Basse-Saxe depuis 2021. Le changement d'orientation est lié à une forte augmentation de la dotation financière, mais aussi et surtout à la bourse de voyage en Europe qui est désormais associée au prix, avec une exposition au musée Sprengel de Hanovre et la publication d'un catalogue. L'intention derrière l'attribution, justifiée par la longue et riche histoire des échanges culturels entre les peuples, de la bourse de voyage qui fait partie intégrante du concept de prix et d'exposition est l'ancrage de la Basse-Saxe dans l'Europe et de son idée spécifique d'un ordre social libéral-démocratique.   Exposition : Sprengel Museum Hannover,  18/11/2023 - 3/3/2024

  • af Jochen Kienbaum
    498,95 kr.

    Pensées et sentiment ! Louisa Clement s'intéresse dans son travail à la question de la présence humaine dans l'artificiel ou, le cas échéant, à la présence de l'artificiel dans l'humain. Elle a d'abord fait sensation avec son oeuvre « Représentantes » (Repräsentantinnen) (2021) où elle fait intervenir 10 clones robotisés qui, en plus d'une ressemblance parfaite avec elle, disposaient par le biais de la technologie d'un accès à toutes les informations et données personnelles la concernant. L'IA leur permettait d'imiter l'artiste et de la reproduire le plus fidèlement possible jusqu'à en devenir les revenants, pourtant dotés chacun d'une vie propre. Louisa Clement a aussitôt été élue à l'unanimité pour le prix d'art de la ville de Bonn 2023 : « Malgré sa jeunesse, l'artiste Louisa Clement a déjà créé une oeuvre à la force et la cohérence exceptionnelles... et a convaincu [le jury avec son] projet [inédit] qui se situe à la jonction de l'art et de la science, tout en traitant des sujets d'actualité brûlants tels que le rapport entre l'homme et l'intelligence artificielle, l'individu et l'algorithme, l'expérience et le flux de données. » Pour l'exposition au Kunstmuseum de Bonn (22.2-16.6.2024), elle développera et perfectionnera son travail actuel intitulé « Compression » (2023), une capsule métallique de 2 cm de haut qui contient un ADN synthétique généré à partir des jeux de données tirées de l'oeuvre complet de l'artiste jusqu'à aujourd'hui et doit le conserver pendant 1000 ans.

  • af Lena Nievers
    418,95 kr.

    DER GROSSE BOGENDer »große Bogen« oder auch »arc de cercle ist mit seiner Ambivalenz des Kontrollverlusts und der Beherrschung ein verführerisches Motiv, das eine lange Tradition in der Kunst- ­und Kulturgeschichte hat. Es findet sich in Darstellungen von Tanz und Akrobatik, beschreibt aber auch physische oder psychische Krankheiten: Der überstreckte (Frauen-)Körper drückt ekstatische Entrückung oder auch eine psychotische Störung aus, ­im Tanz aber steht er für virtuose Körper­beherrschung und Expressivität. Mit »Arch of Hysteria« widment das Museum der Moderne, Salzburg, eine Ausstellung diesem bildmächtige Motiv. Es werden Kunstwerke der letzten 100 Jahre aus verschiedenen Kontexten gezeigt und so der Vielfalt der Ausdrucksmöglichkeiten nachgegangen, die der Pose innewohnen - bis hin zu ihrer Umwandlung in ­abstrakte, aber dennoch expressive und daher ­unverkennbare Formen. Buch und Ausstellung ­beleuchten die (kunst)geschichtlichen Wurzeln des Motivs ebenso wie aktuelle Fortschreibungen in Malerei, Zeichnung, Skulptur, Fotografie, Video- sowie Performancekunst. Unter den Protagonist­Innen finden sich u. a. Denis Darzacq, Max Ernst, Georg Herold, Gustav Klimt, Alfred Kubin, Auguste Rodin, aber auch Alexandra Bircken, Louise Bourgeois, Ronit Porat, Barbis Ruder, Charlotte Rudolph, Valerie Schmidt und VALIE EXPORT; dabei sind viele Arbeiten extra für die Schau entstanden und werden in diesem Buch erstmals ­abgebildet.Ausstellung:Museum der Moderne Salzburg, 21/7/2023 - 14/1/2024

  • af Susanne Pfleger
    418,95 kr.

    Die Kunst der MonotypieSammlungsschwerpunkt und Alleinstellungs­merk­mal der Städtischen Galerie Wolfsburg sind gra­fische Werke, von denen zahlreiche in der Druck­werkstatt im Schloss Wolfsburg entstanden sind. Beim Ausstellungsprojekt (April bis August 2022) »Surprise. Die Kunst der Monotypie« stand die Monotypie im Fokus, entsprechend stellt nun das Buch mit Arbeiten internationaler KünstlerInnen diese Medium in seinen verschiedenen Facetten vor. Die Monotypie ist eine spannende Verbindung von Malerei, Zeichnung und Grafik. Das um 1640 erstmals eingesetzte Verfahren erlebte im 19. Jahrhundert einen ungeahnten Siegeszug, insbesondere die Impressionisten schöpften die Potenziale dieser zwischen Zeichnung und Druck oszillierenden Technik virtuos aus. Das Verfahren fordert zur raschen Umsetzung eines Bildes auf und übersetzt die künstle­rische Handschrift wirkungsvoll ins gedruckte Bild. Das Buch zeigt Monotypien ­zahlreicher KünstlerInnen, darunter Werke bedeutender ­VertreterInnen der Moderne wie John Cage oder Edgar Degas, Arbeiten zeitgenössischer Künstler­Innen wie Herbert Brandl, Shara Hughes, Mia Chaplin, Günther Förg oder Gerhard Richter u. v. a.

  • af Inka Schube
    313,95 kr.

    Was tun wir nur den Schweinen an?Im Zentrum des Projekts »Ocular Witness: Schweinebewusstsein« stehen Fragen nach dem Selbst- und dem Weltverhältnis des ­Menschen. Es werden Problemkomplexe von globaler Relevanz aufgeworfen, wenn das Verhältnis zum Schwein zur Sprache kommt. In einen kollektiven Rechercheprozess eingebunden, beteiligen 14 KünstlerInnen an Ausstellung und Buch, iwobei sie verschiedene ästhetische ­Verfahren und künstlerischen Strategien an­wenden, um sich jeweils eines Teilaspekts des Themas ­anzunehmen. Gedanklich miteinbezogen sind Projekt wie das »Haus für Schweine und Menschen« von 1997, realisiert von Carsten Höller und Rosemarie Trockel, oder auch »Lebensmittel« (2012) von Michael Schmidt. Über die Präsentation im ­Sprengel Museum hinaus sollen die entstandenen Werke als flexible Module funktionieren und auch an anderen Orten zum Einsatz kommen, etwa in lokalen Gemeindezentren, Landgasthöfen, ­Heimatvereinen und Landfrauenvereinigungen. Das Projekt an Über­legungen von Alan Sekula ­anknüpft, mit Mitteln der Kunst ebenso konkrete wie komplexe politische Fragestellungen zu bearbeiten und zur Diskussion zu stellen.Ausstellung:Sprengel Museum Hannover, 23/8 - 5/11/2023

  • af Peter Friese
    623,95 kr.

    Einer der ungewöhnlichsten Protagonisten der Fotoszene im RheinlandChristopher Muller, der seit 2009 eine Professur für künstlerische Fotografie an der Folkwang ­Uni­versität innehat, ist seit Mitte/Ende der 1990er Jahre war er einer der ungewöhnlichsten Protagonisten der Fotoszene im Rheinland. Mit Kunstpreisen etwa des Kunstfonds Bonn 1995 oder der Krupp von Bohlen und Halbach-Stiftung 2004 hat der in London aufgewachsene, am Camberwell ­College of Arts & Craft, der Slade School of Fine Art in London und schließlich an der Kunstakademie in Düsseldorf ausgebildete Künstler in der Szene einen Platz gefunden. Dabei hat ihn stets seine spezielle Heran­gehensweise ausgezeichnet, die ihn von den KollegInnen unterscheidet. Er kommt vom Stillleben, und hat mit seinen seriell wirkenden Objektfotografien in den 1990er Jahren ent­sprechend für Aufsehen gesorgt. Seine jüngst ent­standenen fotografischen Collagen sowie die zusehends einen breiteren Raum einnehmenden Aquarelle thematisieren das Verhältnis der Dinge zueinander und zugleich unsere Sicht auf sie. Die Bilder verdeutlichen, dass die BetrachterInnen in ein komplexes Gewebe von Gefühlen, Vorlieben und Abneigungen ­verwickelt sind, die auch von ihren Erwar­tungen und Handlungen im Alltag bestimmt werden.

  • af Andreas Baur
    498,95 kr.

    Hier und JetztAïcha hat einiges erlebt: Als Adoptivkind nach Frankreich gekommen, ist sie dort in schwierigen Verhältnissen aufgewachsen. Heute lebt sie auf Mallorca und hat sich voller Konsequenz in das Abenteuer Malerei gestürzt. Ihre Bilder sind un­mittelbar, unverstellt - sie sind, was die Biografie der Künstlerin anbelangt, geprägt von einer tiefen Authentizität, die die Betrachter­Innen zum Ein­tauchen in ihre Lebensumstände einlädt. Lebensgroß ­begegnen einem die Figuren auf den großforma­tigen Bildern jüngeren Datums, die den ­Dialog mit uns auf Augenhöhe suchen. Aïcha malt sich ihre Geschichte von der Seele. In ihrer ­Bilderwelt kehrt sie zurück in ihre Kindheit und ­Jugend, meistert sie die Dinge des ­alltäglichen ­Lebens, orchestriert sie die kleinen Geschichten. Und doch ist im Hintergrund stets etwas Bedroh­liches, fast eine düstere Stimmung zu erahnen. Der Bildaufbau wirkt dabei ­klassisch, die Interaktion der Bildgegenstände ist formal völlig souverän konzipiert, die Motive teilen sich bei der Betrachtung ­unmittelbar mit. Aïcha könnte eine herausragende Akteurin der Art Brut ­gewesen sein, doch sie malt im Hier und Jetzt, so dass ihre gewaltige Bildsprache ist nicht anders als sensationell zu nennen ist.

  • af Marc Gundel
    448,95 kr.

    Gregor Schneider Preisträger Ernst Franz Vogelmann-Preis für Skulptur 2023Den Räumen nie entkommen zu können, weil sie gesellschaftlich und durch Tabus aufgeladen sind, weil sie neben ihrer physischen auch eine psychische Wirkung entfalten, kennzeichnet die künstle­rische Haltung von Gregor Schneider. ­Gregor Schneider, 1969 in Rheydt geboren, ist 2001 mit »Totes Haus u r« schlagartig einer breiten Öffentlichkeit bekannt geworden, nachdem die Arbeit auf der Biennale in ­Venedig mit dem Goldenen Löwen ausgezeichnet worden war. Nun erhält er, nach Roman Signer, Franz ­Erhard Walther, Thomas Schütte, Richard Deacon und Ay¿e Erkmen, den Ernst Franz Vogelmann-Preis 2023 für Skulptur. Der seit 2016 an der Kunst­­­akademie Düsseldorf lehrende Künstler »schaut hinter die Fassade der Dinge und definiert nebenbei die Begriffe Bildhauerei und Installation neu«, begründete die Jury ihre Wahl. Und in der Tat, seine biografisch fundierte Agenda bildet den ­irritierenden ­Ausgangspunkt seiner Arbeiten, die die Be­sucherInnen zu handelnden AkteurInnen ­werden lassen.Ausstellung:Kunsthalle Vogelmann, Heilbronn, 15/7 - 29/10/2023

  • af Lynn Kost
    498,95 kr.

    Die Form im Dienst des InhaltsDie Installationen der in Berlin lebenden Künst­lerin Sung Tieu (*1987 Hai Duong, Vietnam) ­be­schäf­tigen sich mit dem wechselseitigen (Zwangs-) Verhältnis von Bürokratie und Identität. Ausgangspunkt ihrer Arbeiten bilden ihre ­Recherchen über das Anwerbeabkommen für vietnamesische VertragsarbeiterInnen in der ehemaligen DDR. Vor dem Hintergrund ihrer eigenen Biografie begann sie sich mit den komplexen soziopolitischen Hintergründen dieses spezifischen Migrationskontextes zu beschäftigen. Es überlagern sich darin Aspekte des Arbeitsregimes, der Regulierung von Wohnraum und der Kontrolle der Privatsphäre. Diesen migrationspolitischen und ökonomischen Zusammenhängen spürt Sung Tieu in ihrer ­Archivarbeit systematisch nach und verdichtet ihre Forschungsergebnisse in Rauminstallationen, die Objekte, architektonische Interventionen, Dokumente, Zeichnungen, Videos und Toneinspielungen miteinander kombinieren, zu atmosphärisch eindrucksvollen audiovisuellen Erzählungen. ­Formalästhetisch sind ihre Arbeiten an Minimal Art und Konzeptkunst angelehnt. Was zunächst im Widerspruch zum politisch-narrativen Ansatz der Künstlerin zu stehen scheint, repräsentiert ­jedoch eine Form des kritischen Engagements, das den konventionellen Glauben an die Auto­nomie der Kunst und ihrer Interpretation auf die Probe stellt. Für Tieu steht die Form im Dienst des Inhalts. Das zeigt auch die Gestaltung dieser Publikation, die einen Teil von Tieus Recherchematerial und Archivalien sowie ihre gesamten ­Serien bürokratischer Dokumente in einer strengen Rasterstruktur reproduziert. Kunsthistorische ­Essays und ein Interview mit der Künstlerin geben uns zusätzlich Auskunft über weitere wichtige ­Einflüsse und Bezüge ihres Kunstschaffens.Ausstellungen:Kunst Museum Winterthur, 16/9 - 19/11/2023Kunsthalle Nürnberg, 9/3 - 9/6/2024

  • af Bruno Brunnet
    213,95 kr.

    Die verlorenen ParadieseDie Gesichtslosigkeit der Protagonisten in den Bildern von Josef Zekoff ist eines ihrer ­herausragendsten Merkmale. Ob es sich nun um ezeichenhafte Labyrinthe handelt - er malt auch Ornamente und Landkarten - oder um gezeichnete Strichmännchen, der Zwischenraum, den diese Bilder besetzen, fordert zur Selbstreflexion auf, für welche die BetrachterInnen allerdings Mut auf­bringen müssen. Oder wie es Florian Waldvogel in seinem einführenden Text schreibt: »Suchen die Protagonisten seiner Bilder die Begegnung mit etwas, das über die Welt der Gegenstände und festen Größen ­hinausgeht? Geht es, wie Martin Heidegger in ›Was ist Metaphysik?‹ schreibt, um eine Begegnung mit dem ›Nichts‹ in der ›Angst‹? Verweist die Konfrontation mit dem ›Nichts‹ in Zekoffs Bildern auf unsere Angst angesichts der ursprünglichen Sinnlosigkeit der Welt, auf den Fakt, dass es das Dasein ist, welches die Bedeutungen den Sachen zuschreibt?« Die Weltlichkeit der Welt liege nach Heidegger in ­dieser Leere, und Zekoffs Figuren spürten, anders als die BetrachterInnen, keine Angst vor dem Nichts. Doch wie in der Jakobiner­tragödie brauche die Furcht das Bewusstsein des Verlusts, um überleben zu können. Gemäß Marcel Proust, so schließt Florian Waldvogel, seien die wahren Paradiese diejenigen, die verloren gegangen sind.Ausstellung:CFA Contemporary Fine Arts Berlin, 1/7 - 5/8/2023

  • af Bruno Brunnet
    213,95 kr.

    Pop-AntizipationenChrista Dichgans lebte in einer Männerwelt, zunächst mit Karl Horst Hödicke verheiratet, folgte ihm 1972 der renommierte Galerist Rudolf Springer. Sie war mit Markus Lüpertz und A. R. Penck befreundet und assistierte Georg Baselitz während seiner Professur in den 1980er Jahren an der Hochschule der Künste in Berlin. Die, wie sie später auch genannt wurden, deutschen Malerfürsten, die im Laufe ihrer Karriere zu bedeutenden künstlerischen Individualisten avancierten und der jüngeren Generation der Jungen Wilden die figurative Expression lehrten, waren unverzichtbare Dialogpartner für Christa Dichgans. Ihre Rolle beschrieb sie so: »In den Sechzigern fühlte sich kein Mann von mir bedroht. Sie fanden, dass ich hübsch sei und spooky, meine Kunst nahmen sie nicht wirklich ernst.« Bereits in der ersten Hälfte der 1960er Jahre entwickelte Christa Dichgans in ihrem frühen Werk im Kern eine Bildformel, die den Vertretern des Kapitalistischen Realismus - Sigmar Polke, Gerhard Richter, Konrad Lueg und Manfred Kuttner - in nichts nachstand.Ausstellung:CFA Contemporary Fine Arts Berlin: 18/3 - 22/4/2023

  • af Bruno Brunnet & Nicole Hackert
    273,95 kr.

    FEEL GOODDana Z¿aja: Ich hatte in Vorbereitung für dieses Gespräch Texte zu deinen Bildern gelesen und diesen Satz aus dem Katalog zu deiner ersten Ausstellung bei uns gefunden: »Strassburger integriert vorgefundenes Wirklichkeitsmaterial als Teil eines spezifischen Gegenwartsmoments. Alles wird aufgezeichnet, Disparates miteinander verbunden und weitergeschrieben: Existenzangst, Spaßkultur, und Lusterfüllung.« Als ich darüber nachdachte, war für mich die erste Frage, was denn eigentlich für dich Wirklichkeit bedeutet?Henning Strassburger: »Existenzangst, Spaßkultur und Lusterfüllung« gefällt mir ziemlich gut. Mehr Wirklichkeit geht ja kaum. Aber ich würde mich nicht gerade als Experten für Wirklichkeitsdeutung sehen.DZ: In deinen Notizen zur Malerei schreibst du zur Abstraktion: »Das perfekte abstrakte Bild ist erreicht, wenn es zur Tapete geworden ist«. Verstehst du das negativ? Warum hast du dann so lange abstrakt gemalt? Und warum jetzt nicht mehr? HS: Den Tapetenstatus habe ich im letzten Jahr erreicht, das sage ich durchaus mit Zufriedenheit. Mission accomplished. Die Lust, das dann als Markenzeichenkunst und sichere Cash-Cow weiterzubetreiben, hielt sich aber bei mir wirklich in Grenzen. Ich habe Kolleg*innen, die das besser können und es als großes Business aufziehen. Ich wollte aber wieder raus ins Abenteuer. In das vorerst letzte abstrakte Bild habe ich noch alles reingesteckt, was ich draufhabe, und dann die Klappe für mich zugemacht. Ich habe nämlich echt keine Lust, jeden Tag dasselbe Bild zu malen.DZ: Deine Obsession mit Pools und Splashes bekommt jetzt in ihrer figurativen Instanz einen melancholischen Touch, was dann wiederum durch die für dich typische Farbpalette gebrochen wird.HS: Ich arbeite mich gern an dem Thema ab, es gibt viel her. Jetzt füge ich noch die Figur als Problemstellung hinzu. Ich habe das Gefühl, die schaut gleichzeitig kritisch auf meine Malerei, während ich sie male. Vielleicht mit Kopfschütteln, keine Ahnung. Ich kann den Figuren eine Malerei gegenüberstellen, zu der sie eine Position beziehen müssen. Vor der sie vielleicht auch etwas einknicken oder von der sie überwältigt sind. Auf alle Fälle gibt es mir einen Handlungsspielraum, in dem ich dieses Fass aufmachen kann. Mit den abstrakten Bildern hatte ich das für mich ausgereizt.DZ: »Solange die Menschheit sehen kann, solange wird es auch Malerei geben.« Einerseits scheint es so, als würdest du wollen, dass sich der Betrachter in deinen Bildern selbst sieht bzw. in deine Bilder eintaucht. Andererseits mischst du deine Farben häufig mit Weiß, damit die Bilder flach bleiben. Ist es dir denn wichtig, dass ein Gemälde in seiner Medialität wahrgenommen wird? Oder sollen sie vielmehr eine Selbstreflexion im Betrachtenden auslösen?HS: Das klingt super esoterisch. Aber klar, das Ziel für Malerei sollte ja sein, dass es sich auch mal jemand anguckt. Und Flachheit ist die Domäne der Malerei, weil sie, konservativ gesehen, eben auf einer Fläche stattfindet. In etwas eintauchen kannst du auch in einer Videoinstallation oder in partizipativer Entertainmentkunst. Aber wenn man vor Malerei steht, klopft die immer auch an die Hirnsynapse, die dir sagt: BILD! Das könnte als ein Mangel an Komplexität gesehen werden, aber diese Unzulänglichkeit macht es ja in Wahrheit erst aus.(Auszüge aus dem Interview) Ausstellung:CFA Contemporary Fine Arts Berlin: 28/4 - 17/6/2023

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    268,95 kr.

    Wie beeinflusst der Zufall das Werk?Das Wichtigste beim Malen sei es, den Kopf auszuschalten, sich führen zu lassen, sagt die deutsch-chinesische Malerin Yafeng Duan, die 1973 in Hebei geboren wurde und heute in Berlin lebt. Wie beteiligen sich die Farben, wie verhalten sich Leinwand und Papier, wohin führt der Pinsel die Hand? Leicht und dicht, hell und dunkel, innere und äußere Welt, breiter Pinsel­duktus und feine Linien in der Tradition der Tuschmalerei, Widerstand und Fluss, massive Flächen und schwebende Farben. Das alles entspreche zudem, so Duan weiter, dem Takt des Ein- und Ausatmens. Hinzu tritt der Zufall, der sich ohne esoterische Konnotationen ins Spiel bringen lässt, wie etwa im Fall der Kompositionstechnik von John Cage, der das »I Ging« als strukturbildendes Prinzip heranzog. Die Formvorstellungen sind daher stets auch mit Verfahrensfragen verknüpft: Wie beeinflusst der Zufall das Werk, wieviel Zufall tut diesem gut? Dem Taoismus entstammend, werden dann fast zwangsläufig die Prinzipien Yin und Yang aufgerufen. Ursprünglich standen diese Begriffe für die »Dunkelheit am Südufer des Flusses«, für einen »schattigen Ort« (Yin) beziehungsweise, konträr dazu, für das »Strahlen der Sonne, die sonnige Anhöhe auf der Südseite der Berge« (Yang). Zu Yafeng Duans abstrakter Malerei heißt es denn auch, sie schaffe Räume, die sich erst bei längerer Betrachtung aufschließen lassen, nicht alle würden bestehen bleiben, manche sich vielmehr verformen oder gar ganz auflösen.Ausstellung:Galerie Michael Janssen, Berlin, 27/1 - 18/3/2023

  • af Jochen Kienbaum
    428,95 kr.

    Selten war ein Quellenstudium so amüsantDas Werk von Peter Zimmermann ist vielfältig. Ende der 1980er Jahre dominierten die soge­nannten Book Cover Paintings - der Kölner Künstler malte Buchtitel von Atlanten, Kunst­büchern, Reiseführern und Wörterbüchern mit ­Epoxid auf Leinwände. In seinen Kartonobjekten arbeitete er dann mit räumlichen Verzerrungen von Schrift und Bild, thematisierte dabei Loops und deren Wechselwirkungen. Dem folgte die erfolgreiche Serie farbenprächtig glänzender Leinwände mit reiner abstrakter Formenmalerei, wobei der Künstler digitale Vorlagen, Fotos, Filmstills oder Diagramme zunächst mittels grafischer Algorithmen verfremdete und dann in zahlreichen trans­parenten Epoxidharzschichten auftrug. Seit 2014 hat Peter Zimmermann, getreu diesem Ansatz, ­verstärkt wieder auf Ölmalerei gesetzt und ­wogende, in leuchtende Farben getauchte Meere voller Tentakeln geschaffen. Für den neuen 2023er-Band der Kienbaum Artists' Books mit dem Titel »swipe« hat der Künstler jetzt seinen Fundus durchstöbert und seine Quellen wie auch seine Arbeiten zu einem wilden ­Potpourri verdichtet. Die Analogien, die dabei zutage treten, sind Hinweise auf eine tiefschürfende Auseinandersetzung mit dem Verhältnis von Original und Abbild und mit dem Begriff der Oberfläche. Selten aber war ein ­autodidaktisches Quellenstudium auch so amüsant.

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    498,95 kr.

    »Nabel zur Welt«Der White Cube hat nach dem Zweiten Weltkrieg den Status einer ästhetischen Konvention erlangt. Das im Buch eindrucksvoll präsentierte Atelier von Dagmar Varady vermittelt demgegenüber den Eindruck, sich sowohl an einem Ort, wo Kunst produziert wird, als auch in einem »Ausstellungsraum« zu befinden. Ihre Arbeiten sind denn auch nicht als abgeschlossene Werke oder Bilder zu betrachten, sondern befinden sich »permanent in Bewegung«, wie die Künstlerin betont. So ­entstehe im Studio eine persönliche (Wissens-) Ordnung im Kontext der Kunst, so etwas wie »Prinzipien im Chaos«, wobei dann auch der gesteuerte Zufall (Serendipity) mit ins Spiel kommt, wie man es an den Strukturen, Faltungen und ­Verläufen in ihrer Serie der »Brilliant-Blue«-Bilder gut beobachten kann. Mit all den in ihrer Kunst auftretenden Brüchen, Abweichungen, Intui­tionen, Ausnahmen und Ambiguitäten hat sich Dagmar Varady auf den »Weg der Absichts­losigkeit« (Ernst Bloch) begeben - eine Absichtslosigkeit, die das Prozesshafte der Kunst befördert, die wiederum ohne verstetigten Ort der Produktion, das Atelier, nicht zustande käme. Und so ­mäandern dort Motive in einem unbestimmten Produktionsprozess von Bild zu Bild, treten in ­Dialog miteinander und verwandeln sich proteushaft in immer neue Varianten. Insofern ist Dagmar Varadys Atelier nicht einfach nur ein Arbeitsort, sondern, wie die Künstlerin selbst es nennt, ihr »Nabel zur Welt« und als ­solcher eine Art Labor, in dem intrinsische Prozesse die künstlerische Haltung und Programmatik wesentlich mitbestimmen.

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    498,95 kr.

    Im Zentrum stehen Porträt und FigurIm Zentrum des Werks von Bertram Hasenauer steht das Porträt bzw. die Figur, wobei diese, vor monochromem weißen oder dunklen ­Hintergrund platziert, nicht primär als (naturalistisches) Abbild fungiert, sondern die Idee des Porträts als solchem zu vermitteln sucht. Damit eröffnet uns Bertram Hasenauer zugleich eine höchst differenzierte, das Bleibende betonende Sicht auf die jeweiligen jungen Personen, alles Spontane und Dyna­mische ist von ihnen gewichen, sie wirken ­androgyn und scheinen im Raum zu schweben. In der Kunstkritik wird angesichts der fast metaphysisch wirkenden Realitätsferne, in die die ­Figuren gerückt scheinen, der Begriff des Magischen Realismus bemüht, der vom Künstler um eine ­Spirale des Enigmatischen erweitert worden sei. Als Arbeitsgrundlage dienen Bertram Hasenauer Bilder aus Zeitschriften und Magazinen. Seine ­Farben trägt er wie einen dünnen Film auf fein strukturierter Grundierung auf. Der rätselhafte ­Eindruck dessen, was, so der Künstler, »wie ein Porträt erscheint, erweist sich als die Idee zu einer möglichen porträtierten Figur; was wie das Bild einer menschlichen Figur erscheint, entschwindet sofort in die vagen Sphären der Erinnerung an eine Figur.«Ausstellungen:Kunsthalle Memmingen, 1/4 - 23/7/2023Galerie Ebensperger, Wien, 28/3 - 30/6/2023

  • af Eva Schmidt
    623,95 kr.

    Es beginnt in einer Sprache»Dinge und Bilder erzählen jeweils in eigener Form. Es beginnt in einer Sprache vom Sehen, die den Verstand und die Sinne berührt, um sich dort zu verzweigen. Eine Verbindung entsteht, die umfasst, was die Betrachtung erfindet. Während Gegenwärtiges und Erinnertes das augenscheinlich Unerklärliche reflektieren, entsteht ein Bild der individuellen Wahrnehmung. Immer weiter wächst eine Erzählung, gespeist von kleinen visuellen Eigenheiten und uner­hörten Beobachtungen.« Dies schreibt Michel Sauer selbst über seine Arbeiten. Der Künstler, 1949 geboren, studierte in Karlsruhe bei Horst Antes und Emil Schumacher, erhielt 1972 den Kunstpreis Junger Westen, war 1980 Stipendiat der Villa Massimo, wurde 1994 mit dem Villa Romana Preis ausgezeichnet und lehrte anschließend von 1994 bis 2014 an der Universität Siegen. Der hier vorliegende Band präsentiert einen Überblick zu seinem Schaffen von den 1970er Jahren bis 2022. Dabei sei es, so die Herausgeberin Eva Schmidt, die plastische Arbeit, die im Zentrum des Interesses des Künstlers stehe. Michel Sauer habe seine plastische Arbeit immer als abstrahierende Wahrnehmung einer Verbindung von Improvisation und handwerklicher Auseinandersetzung mit den Materialien Holz, Zink, Kupfer und Messing betrachtet. Das habe ihn auf seiner Suche nach der Einheit von Vorstellungs- und Erinnerungsbildern beflügelt - einer Einheit, die sich im medialen Wechselspiel von Poesie und ihrer immer möglichen »Materialisierung« realisiert.Ausstellung:annex14, Zürich, 24/2 - 1/4/2023

  • af Nina Zimmer
    418,95 kr.

    Mirós SpätwerkJoan Miró ist bekannt für seine farbigen Traum­welten. Nach dem lang ersehnten Bezug eines eigenen großen Ateliers auf Palma de Mallorca im Jahr 1954 erweiterte der katalanische Künstler seinen Malereibegriff auf bisher so noch nicht bekannte Weise. Seine konventionelle ­Staffelei­malerei empfand er als Einschränkung und suchte von nun an nach neuen Ausdrucksformen. So ­begann er beispielsweise auch mit Feuer und Schere zu »malen«. Der große Bewunderer Paul Klees wurde nie müde, seine eigene künstlerische Praxis zu hinterfragen und stets neue Techniken und Materialien auszuprobieren. Der Moment der Selbstkritik und des Neuanfangs, der mit dem Umzug ins neue Atelier auf Palma begann, bildet den Ausgangspunkt für die Ausstellung und ­dieses reich bebilderte Buch.Ausstellung:Zentrum Paul Klee Bern, 28/1 - 7/5/2023

  • af Matthias Kunz
    298,95 kr.

    Wenn tausend Blüten den Fasan erklimmenAustin Eddy formuliert in seinem malerischen Werk Widersprüche, greift auf kubistische Traditionen zurück und sucht die Balance zwischen Figuration und Abstraktion. Seine figurativen Elemente falten sich zu nächtlichen Landschaften, Gebäude werden zu isolierten Ansichten scheinbar klaustrophobischer Räume, schwebende Wolken ähneln knolligen Fingern - und alle sind zugleich Porträts, Stillleben und Landschaften. Austin Eddys Werk verweist formal und konzeptuell auf die amerikanische Moderne, das Besondere an ihm aber beschreibt niemand besser als der Künstler selbst: »Ich denke, die Gemälde versuchen ständig, einen Weg zwischen Realität und Abstraktion zu finden. Ich bin daran interessiert, die Grenzen auszuloten, wie weit man die Konversation zwischen beidem ausdehnen kann. Die Gemälde haben ihre Wurzeln in Erzählungen aus dem richtigen Leben, sind aber nicht notwendigerweise daran gebunden, die Realität zu repräsentieren. Um sie an die Erde zu binden, versuche ich, die Zeit zu nutzen. Das Licht spielt eine entscheidende Rolle, wenn man verstehen will, wie diese Bilder funktionieren. Nicht nur im Sinne der Tageszeit, sondern auch im Hinblick auf die mögliche Dauer eines Ereignisses. Der Versuch, einen Nachmittag in einem Moment einzufangen - oder die Hektik des Fliegens in der Stille eines Bildes - reizt mich besonders. Da ich darauf aus war, die Bildsprache zu vereinfachen, finde ich es wichtig, dass sie durch die Farbe der entsprechenden Zeit in die natürliche Welt zurückgeholt werden.«Ausstellungen:Académie Conti, Le Consortium, Dijon 3/7 - 9/10/2022Knust Kunz Gallery Editions, München, 29/9 - 12/11/2022

  • af Harriet Zilch
    428,95 kr.

    »Schulze gehört zu dieser Handvoll großer Namen«So resümiert Daniel Schreiber in seinem Text. ON STAGE, das ist der Titel der Schau von Andreas Schulze, mit der er die Kunsthalle Nürnberg zur Bühne für seine surrealen Bildwelten werden lässt. Immer wieder trifft die große schillernde Welt des Entertainments auf triviale Alltagsästhetik, kollidieren kunsthistorische Bezugnahmen mit banalem Zierrat und Nippes. Stoßstange an Stoßstange drängen sich großformatige Bilder brav wirkender Karosserien zum Foto für eine Klapptafel mit raumfüllendem Stau. Doch führt uns Andreas Schulze an der Nase herum, seine Bilder von Mobilität, Fortschritt, Dynamik und Status sehen fast kindlich aus. Für die Absurditäten unseres Alltags hat der Künstler schon immer einen besonderen Blick gehabt. 1989 sagte er noch, die Avantgarde bewege sich zwischen zwei Extremen: Intellektualität und grobe Banalität. Er dagegen habe stets das bürgerliche Mittelmaß gesucht. Mit einem amüsierten Achselzucken zitiert er es seitdem: Amorphe Röhren, wulstige Objekte, stilisierte Wellen, Lichtpunkte, nebelige Flächen und Abgaswölkchen formieren sich in eigentümlichen Landschaften. Backsteinwände, Veloursteppiche, Stehlampen, Gummibäume und allerlei Alltagsobjekte sind Bühne für Vertrautes, das auf einmal fremdartig erscheint und sich mit Humor und Abgründigkeit verbindet. Denn vieles, was zunächst unbekümmert erscheint, repräsentiert eben nicht die visuelle Wohlfühlzone. Andreas Schulzes bildnerisches Konzept ist banal und rätselhaft, eigenartig, aber bei aller Vertrautheit erzeugt es unterschwelliges Unbehagen.Ausstellungen:Kunsthalle Nürnberg, 5/11/2022 - 12/2/2023The Perimeter, London, 17/3 - 1/7/2023

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    498,95 kr.

    Das Geplante scheitert, das Hingeworfene wird angenommenAdriano Sack: In deinem neuen Film »Inizio« hälst du ein Schild hoch mit der Aufschrift »Paradies«. Welche Vorstellung spielt das Paradies in deinem Werk und deinen Träumen?Erik Schmidt: Der Versuch, das Leben als Paradies zu inszenieren ist ein wichtiger Antrieb bei mir. Wenn ich irgendwo hingehe, empfinde ich diese totale Faszination, selbst wenn es nur ein Palmenstrand ist. Das Paradies im religilösen Sinn ist natürlich nicht gemeint. Eher der Zustand der Glückseligkeit auf Erden.AS: Du hast Inizio im Garten der Villa Massimo in Rom gedreht. Was bedeutet dir dieser Ort?ES: Es ist ein sehr schöner Garten. Aber der Film spielt nicht bei der Villa Massimo, sondern an einem nicht definierten Ort. Zum Zeitpunkt der Dreharbeiten war Italien im Lockdown, wir brauchten einen privaten Rückzugsort.AS: Es gibt zum ersten Mal in einem deiner Filme eine Art Alter Ego, den jungen Schauspieler Christian Erdt. Gibt es für den älteren Künstler keinen »Inizio«?ES: Nein. Oder doch. Den Neuanfang gibt es, aber es gibt kein Zurück. Mir passt das Kleid nicht, in das der andere schlüpft. Ich muss da weitermachen, wo ich bin.…AS: »Inizio« ist das Ergänzungsstück zu dem Film »Fine«, den du in Olevano bei Rom gedreht hast. »Ich bin ein Mann von Welt«, beginnt der Film, während der Darsteller auf ein Totenhaus zuschreitet. Was bedeutet dieser Gedanke in einem kleinen italienischen Bergstädtchen wie Olevano.ES: Passt doch. Denken Menschen in kleinen Städten nicht immer, dass sie Männer von Welt sind? Wer wirklich einer ist, würde das ja gar nicht denken.AS: In »Fine« übergießt sich der Künstler mit Öl. Das ist ein wiederkehrendes Motiv in deinen Filmen. Ständig wird sich aus- oder angezogen, dein Körper wird gebadet, massiert oder übergossen. Was hast du noch nicht mit dir gemacht?ES: Keine Tätowierung. Keine Löcher. Nichts, was bleibende Schäden hinterlässt.…AS: Du hast den westfälischen Mischwald, Olivensträucher in Israel, Palmen in Asien gemalt. Gibt es einen Zusammenhang?ES: Es gibt einen formalen und strukturellen Zusammenhang. Pflanzen haben immer ein Zentrum. Bei den Palmenbildern habe ich das auf die Spitze getrieben: Sie sind quadratisch und in der Mitte ist die Nuss. Darüber hinaus aber bin ich beim Malen von Bäumen unheimlich frei. Bei einem Porträt ist man dem Gesicht noch irgendwie verpflichtet. Bei der Natur kann das keiner nachvollziehen. Zumal bei der Übermalung von Fotografien. Da kann ich als Maler völlig frei agieren. Das ist fast wie bei Action Painting: Ich werfe Farbe, sie läuft und tropft. Die Palme auf meinen Gemälden ist schon auch ramponiert. Aber sie bleibt erkennbar.…(Drei kurze Auszüge aus dem Interview von Adriano Sack mit Erik Schmidt)Ausstellung:Kunstraum Potsdam, 18/9 - 30/10/2022

  • af Christina Vegh
    413,95 kr.

    ConnectionsThomas Ruff (*1958) und James Welling (*1951) gehören zu den bekanntesten Fotokünstlern der Gegenwart. In ihren Werken ­erforschen sie die Bedingungen der visuellen Wahrnehmung, auch in Bezug auf unseren ­Einsatz der fotografischen Apparatur, und die Konditionierung unserer Sicht auf die Welt durch fotografische Bilder. Die Ausstellung »Dunkle Materie. Thomas Ruff und James Welling« und der gleichnamige Begleitkatalog konzentrieren sich auf Arbeiten, die dem fotografischen Bild neue Möglichkeiten abringen und unser Vorstellungsvermögen erweitern. Wir nehmen unsere Umwelt subjektiv wahr, wir sehen und fühlen sie vor dem Hintergrund dessen, was wir in tradierten Bildern und Wörtern fassen und verstehen ­können. Rund achtzig Prozent der Materie im ­Universum bestehen aus einem Stoff, den wir nicht kennen: Dunkle Materie. Verhält es sich ­ähnlich mit dem fotografischen Bild? Verbirgt es mehr, als es zeigt?Ausstellung:Kunsthalle Bielefeld, 5/11/2022 - 5/3/2023

  • af Michael Buhrs
    713,95 kr.

    The Emergency Will Replace the ContemporaryIm September 2020 konzipierte der in Kopen­­hagen lebende Künstler Thierry Geoffroy / Colonel, geb. 1961 in Nancy, Frankreich, THE AWARENESS MUSCLE TRAINING CENTER im Museum Villa Stuck in München. Im Anschluss an dieses intensive partizipatorische Ausstellungsprojekt entstand die Idee, die erste umfassende Monografie zum facettenreichen Werk des Künstlers in den letzten vierzig Jahre zu erstellen. Die Publikation umfasst alle künstlerischen Formate, darunter die prominentesten - Emergency Room, Critical Run und Biennalist -, die in der ganzen Welt realisiert ­wurden. Ebenso beleuchtet werden die mit Colonels Aktivitäten verbundenen physischen Kunstwerke, die von Fotografie über Bewegtbilder bis hin zur Malerei reichen. Weiteres Element der ­Publikation ist eine vollständige Chronologie, die Geoffroys künstlerischen Aktionsradius dokumentieren. In den begleitenden Texten geht eine internationale Autorschaft auf die verschiedenen Aspekte des Werkes ein und erläutert, wie seine künstlerische ­Praxis mit konzeptuellen Mitteln sowie ortsspezi­fischem Ansatz die Aufmerksamkeit auf Manifestationen der Macht und der Ungerechtigkeit lenken.

  • af Omar Kholeif
    593,95 kr.

    Erzählungen aus der Diaspora»In the Heart of Another Country« erkundet den Heimatbegriff als Gefühl der Sehnsucht und Zugehörigkeit von KünstlerInnen verschiedener Diasporagruppen. Ausstellung und Buch widmen sich der Frage, in welcher Weise physische Bewegung - Mobilität über Ländergrenzen hinweg - die Rahmenbedingungen des internationalen zeitgenössischen Kunstschaffens formten. Auf ihren Migrationsrouten durch­querten die KünstlerInnen Süd- und Westasien, Afrika und die Karibik. Die meisten von ihnen leben heute über die ganze Welt verstreut und weit von den Orten entfernt, zu denen sie sich ursprünglich zugehörig fühlten. Mit 150 Kunstwerken aus der inte­r­nationalen Sammlung der Sharjah Art Foundation, VAE, präsentiert »In the Heart of Another Country« die Arbeit von mehr als 60 KünstlerInnen aller Kunstrichtungen. Viele dieser Werke wurden bisher selten oder nie außerhalb ihres ursprünglichen ­­Zu­sam­menhangs ausgestellt. Die Exponate reichen von frisch ­restaurierten Installationen bis zu aktu­ellen Neu­erwerbungen, die verbunden sind durch ein gemeinsames Narrativ der Zugehörigkeit - häufig vor dem Hintergrund politischer Unruhen und ­sozialer Konflikte. »In the Heart of Another Country« steht für das Ziel der Sharjah Art Foundation, mit ihrer Sammlung Kunst zu zeigen, die Ost-Ost- und Süd-Süd-Bündnisse postuliert und diese an einem Schnittpunkt zusammenzuführen, um eine fruchtbare Grundlage für eine vielstimmige und ­inklusive Kunstgeschichte zu schaffen.Ausstellung:Deichtorhallen Hamburg, 28/10/2022 - 14/3/2023KünstlerInnen:Bani Abidi, Sarah Abu Abdallah, Etel Adnan, Latif Al Ani, Khadim Ali, Halil Altindere, Minam Apang, Rasheed Araeen, Thuraya Al Baqsami, Shiraz Bayjoo, Semiha Berksoy, Huma Bhabha, Huguette Caland, CAMP, Tony Chakar, Saloua Raouda Choucair, Tiffany Chung, Monir Shahroudy Farmanfarmaian, Simone Fattal, Marcos Grigorian, Abbas Habiballa, Joana Hadjithomas & Khalil Joreige, Rokni Haerizadeh, Taloi Havini, Susan Hefuna, Adam Henein, Lubaina Himid, Emily Jacir, Hayv Kahraman, Ali Kazim, Amal Kenawy, Aisha Khalid, Anuar Khalifi, David Koloane, Farideh Lashai, Tala Madani, Taus Makhacheva, Jumana Manna, Marwan, Ibrahim Massouda, Ahmed Mater, Ahmed Morsi, Fateh Moudarres, Michael Rakowitz, Marwan Rechmaoui, Ibrahim El-Salahi, Mohan Samant, Hrair Sarkissian, Hassan Sharif, Wael Shawky, Anwar Jalal Shemza, Ahmed Shibrain, Shahzia Sikander, Rayyane Tabet, Richard Lokiden Wani, Nari Ward, Lionel Wendt, Kamal Youssef, Akram Zaatari

  • af Lisa Bauer-Zhao
    498,95 kr.

    Dem Vergessen entreißenRudolf Großmann (1882-1941) war ein renommierter Maler und Grafiker und seiner spitzen Feder wegen auch ein gefürchteter Chronist. In Porträts und Café- und Straßenszenen zeichnete er sehr facettenreich das Leben in der Großstadt nach, in Zeitschriften wie etwa dem Simplicissimus veröffent­lichte er in den 1910er und -20er Jahren Texte und Illustra­tionen; zudem illustrierte er Bücher für Autoren wie Joachim Ringelnatz und Erich Kästner. Heute ist Rudolf Großmann nur noch Interes­sierten und Spezialisten für die 1920er Jahre ein Begriff. Vor dem Hintergrund der Frage, warum er weitest­gehend in Vergessenheit geraten ist, stellen Ausstellung und Buch sein Werk mit Fotoarbeiten zeitgenös­sischer KünstlerInnen gegenüber. Seine grafischen und malerischen Arbeiten aus der Sammlung des Museums für Neue Kunst Freiburg werden mit den fotografischen Positionen aus der Sammlung der Kunststiftung DZ BANK kombiniert. Dabei erweisen sich vor allem Rudolf Großmanns Porträtzeichnungen, denen ein fotografischer Blick zu eigen ist, als sinnvolle Pendants der Werke etwa von Wolfgang Tillmans, Sven Johne, Nan Goldin oder Gisèle Freund. Der multiperspek­ti­vische Blick von Barbara Probst oder die Raumkonstruktionen von Beate Gütschow zeigen überdies, wenn sie auf Rudolf Großmanns zeichnerische Szenen treffen, dass trotz des zeit­lichen Sprungs von über 100 Jahren ­eine gewaltige ­atmosphärische Nähe besteht. ­Rudolf Großmann besaß eine gewisse Äquidistanz zu den bekannten Stilen seiner Zeit, was sein Werk unvergleichlich macht und zugleich eine Nähe zur Fotografie herstellt. Das aber konnte auch ihn nicht vor der Verfolgung durch den Nationalsozialismus schützen, sodass auch seine Kunst als entartet gebrandmarkt wurde und er sich in seinem Geburtsort Freiburg zunehmend zurückzog.Ausstellung:Museum für Neue Kunst Freiburg, 28/10/2022 - 19/2/2023

  • af Christina Vegh & Henrike Mund
    328,95 kr.

    Dóra Maurer nimmt eine Sonderstellung einDóra Maurer (*1937, lebt in Budapest) gilt als ­prominente Vertreterin der Neo-Avantgarde. Sie gehört damit zu den KünstlerInnen, die seit den 1960er Jahren progressive Wege jenseits der ­offiziellen staatlichen Kulturpolitik Ungarns beschritten haben. Ihre Arbeiten, die Grafik, Fotografie, Film, Aktionskunst und Malerei umfassen, zeigen klare konzeptuelle Herangehensweisen, wobei als die zentralen Aspekte Wahrnehmung, Bewegung, Verschiebung und Transformation zu nenen sind. Die Abstraktion, insbesondere die­jenige der ­frühen Jahre der Bundesrepublik Deutschland, kann heute als eine politische ­»Bereinigung« eingestuft werden, stand sie doch stellvertretend für die »offene Gesellschaft«. Entsprechend sind zahlreiche Sammlungen in deutschen Museen ausgerichtet, darunter auch die der Kunsthalle Bielefeld (Ausstellung von Dóra Maurer in Bielefeld: 29/1-15/5/2022). In ehemaligen Ostblock­ländern wie Ungarn aber, hatte die Abstraktion eine »oppositionelle« Konnotation. Durch die Nicht-Gegenständlichkeit ihrer Arbeiten, die im Gegensatz zur offiziellen Vorgabe des Sozialis­tischen Realismus stand, nimmt Dóra Maurer eine Sonderstellung ein. Verstärkt wurde das durch ­ihre Kontakte und Reisen in den Westen, die für sie aufgrund ihrer doppelten ungarischen und österreichischen Staatsbürgerschaft schon vor 1989 möglich waren. Ihre Experimente in den ­Medien Fotografie und Film in den 1970er Jahren sowie ihre auf prozessualer Verschiebung beruhen­den abstrakt-geometrischen Arbeiten weisen eine offensichtliche fomale Parallelität zur Nachkriegskunst Westeuropas und der USA auf. ­Tatsächlich jedoch sind ihre Arbeiten ohne die ­Erfahrung des Lebens unter dem kommunistischen Regime nicht zu denken.

  • af Larissa Kikol
    428,95 kr.

    Anselm Reyle in HeilbronnAnselm Reyle gehört zu den international ­renommiertesten deutschen Künstler­I­nnen ­seiner Generation. In Tübingen geboren und in Heilbronn aufgewachsen, wird er nun die gesamte Kunsthalle Vogelmann bespielen. Die Liste seiner Ausstellungsorte liest sich wie das Who's Who der Kunstwelt: von der Kunsthalle ­Zürich bis zum Palazzo Grassi in Venedig, von den Deichtorhallen Hamburg bis zur Kunsthalle Tübingen. Seine Kooperationen, z. B. mit Dior für eine exklusive Handtaschenserie, sind legendär. Auf verblüffende Weise mischt Anselm Reyle Stile, Farben und ­Materialien, arbeitet mit Autolack, PVC- und Spiegel-folie, Sprühfarbe, LED-Leuchten, Beton oder Ton. Fundstücke als Ausgangsmaterial spielen in ­seinem Werk immer wieder eine herausragende Rolle, wobei es sich dabei ebenso um Elemente aus den Werken anderer KünstlerInnen wie um Alltagsobjekte, Architekturen oder auch um ­Design handeln kann. Entsprechend bestimmen ­Reflexion, Aneignung, ­Um- und Neuformulierung seine Arbeitsweise. Die Betrachter­Innen verfangen sich denn auch im überraschenden Beat gegensätzlicher formaler wie materieller Samplings, in denen sich das gesamte ­Bildrepertoire moderner abstrakter Bildfindung wiederfindet. Das geplante Buch wird die in Heilbronn vor Ort entstehenden raumgreifenden Wandarbeiten zeigen, die neueste Werkserie mit Bildern auf Sack­leinen präsentieren und auch einen Blick auf Anselm Reyles früheres Schaffen werfen.Ausstellung:Kunstverein Heilbronn, 8/7 - 23/10/2022

  • af Bruno Brunnet & Nicole Hackert
    328,95 kr.

    Die Sammlung war zu Beginn nicht als eine solche geplant»Die Sammlung war zu Beginn, wie es mit den meisten Sammlungen so ist, nicht als ­eine ­solche geplant. Es ging darum, sich mit Unbekanntem, Unverständlichem zu beschäftigen und zu umgeben. Es ging um die Faszination des Hand­werks und darum, dieser Faszination in der eigenen Wohnung Raum zu geben, um sich des ständigen Reizes des Lebens bewusst zu bleiben. Hereingeholt hat sich der Sammler die Tiefen des Unbewussten, der Philosophie, der Maltechnik, und er hat sich damit zugleich das wilde umtriebige Berlin in die eigenen beschaulichen vier Wände geholt. Begeben wir uns auf die Spurensuche ­dieser Sammlung, folgen wir den verschiedenen (un)zuverlässigen Erzählenden. Mögen diese Erzählenden Sammelnde sein, Galeristinnen, Autoren oder Betrachtende - was bleibt, sind ihre Geschichten. Geschichten von Ein-Tages-Ausstel­lungen für ­dänische ThronanwärterInnen mit anschließendem Gelage oder von gerade so für die Ausstellung fertigen Bildern, die es nicht mehr in den Ausstellungskatalog geschafft haben - wg. Redaktionsschluss. Geschichten von Bildern, die nach Ankauf für die eigene Wohnung erst einmal über Jahre in Museen verschwinden, von rauschen­den Partys nach und vor Eröffnungen, einfach so … Das Meta­physische der Kunst ist zeitlos und gerade deshalb Zeitmaschine, einzelne Kunstwerke hingegen sind es nicht. Sie sind immer Ausdruck einer Zeit, ob sie es wollen oder nicht, und erzählen deshalb auch die Geschichte ihrer Zeit: ihre Entstehungsgeschichte, eine Ausstellungsgeschichte, eine Sammlungs­geschichte, eine Preisgeschichte. Auch diese Sammlung erzählt eine spezielle Zeitgeschichte. Möchte man erneut einer unzuverlässigen Erzählerin folgen, so erzählt diese Sammlung von einem Berlin der 1990er und 2000er Jahre, in dem so vieles möglich war, weil es große Räume für wenig Geld gab. Die Sammlung erzählt eben auch von Hinterhofgalerien, improvisierten Projekträumen, die später zu Institutionen wurden und vom ›Club Berlin‹, der Partys mit Kunst, Techno mit Politik zusammenbrachte.« Katharina HajekKünstlerInnen:John Baldessari, Carol Bove, Louise Bourgeois, Marc Bradford, Nathalie Djurberg, Marlene Dumas, Marcel Eichner, Günther Förg, Theaster Gates, Adrian Ghenie, Nan Goldin, Thomas Hirschhorn, Jenny Holzer, Thomas Houseago, Mike Kelley, Martin Kippenberger, Sherrie Levine, Jonathan Meese, Gabriele Orozco, Rymond Pettibon, Sigmar Polke, Richard Prince, Janne Räisänen, Anselm Reyle, Jason Rhoades, Daniel Richter, Gerhard Richter, Gregor Schneider, Dana Schutz, Cindy Sherman, Dash Snow, Philip Taaffe, Tal R, Kara Walker, Wawrzyniec Tokarski, David Weiss & Peter Fischli, Rachel Whiteread, Marlon Wobst