Bøger af Maxime Du Camp
-
285,95 - 322,95 kr. This is a reproduction of a book published before 1923. This book may have occasional imperfections such as missing or blurred pages, poor pictures, errant marks, etc. that were either part of the original artifact, or were introduced by the scanning process. We believe this work is culturally important, and despite the imperfections, have elected to bring it back into print as part of our continuing commitment to the preservation of printed works worldwide. We appreciate your understanding of the imperfections in the preservation process, and hope you enjoy this valuable book.
- Bog
- 285,95 kr.
-
- Peinture, Sculpture
206,95 kr. This is a reproduction of a book published before 1923. This book may have occasional imperfections such as missing or blurred pages, poor pictures, errant marks, etc. that were either part of the original artifact, or were introduced by the scanning process. We believe this work is culturally important, and despite the imperfections, have elected to bring it back into print as part of our continuing commitment to the preservation of printed works worldwide. We appreciate your understanding of the imperfections in the preservation process, and hope you enjoy this valuable book.
- Bog
- 206,95 kr.
-
108,95 kr. " Entre la population indigente de Paris et celle qui peut subvenir à ses besoins journaliers, il y a une catégorie assez nombreuse d'individus qui, tout en possédant quelques ressources, ne pourraient cependant échapper aux difficultés de la vie, s'ils ne trouvaient asile dans certaines maisons spécialement destinées à les recevoir. Ces maisons de retraite, désignées sous le titre général d'hospices, relèvent de l'assistance publique et sont au nombre de sept. La plupart étaient jadis situées à Paris; mais depuis quelques années l'administration les a rejetées autant que possible hors de l'enceinte des fortifications, mesure excellente qui lui permet de donner à ses pensionnaires les avantages hygiéniques de la vie de campagne, et d'échapper aux droits d'octroi dont sont frappées toutes les denrées introduites à Paris. S'adressant à des personnes que la misère n'a pas encore réduites à l'indigence, l'hospitalité ici n'est pas toujours gratuite, et, pour en pouvoir profiter, il faut remplir diverses conditions qui varient selon les établissements. Le plus ancien de ceux-ci est l'hospice des Petits-Ménages, fondé en 1557, qui a pris la place de la maladrerie Saint-Germain, affectée jadis aux lépreux et fermée, faute de ressources, en 1544..."
- Bog
- 108,95 kr.
-
- Le quartier des condamnés à mort et l'échafaud
108,95 kr. " Jusqu'aux premiers jours du XIXe siècle, on exécutait à Paris les criminels un peu partout, au hasard de certaines convenances dont le mobile nous échappe aujourd'hui, à la Grève, aux Halles, à la Croix du Trahoir, place de la Bastille, souvent dans un carrefour et parfois même dans les rues. La place de Grève, exclusivement adoptée sous le consulat, vit, jusqu'à la révolution de juillet, toutes les exécutions capitales dont Paris fut ensanglanté, et à cette époque elles étaient marquées de préliminaires d'une lenteur désespérante. Le condamné, amené dès le matin de Bicêtre, où il était enfermé depuis qu'il avait signé son pourvoi en cassation, était mis à la Conciergerie pour y passer son dernier jour. Quelques minutes avant quatre heures, il était extrait de la prison, hissé sur une charrette découverte et dirigé ainsi, à travers la foule qui encombrait les quais, jusqu'à la place sinistre où il devait mourir. Du haut de l'échafaud tourné vers la Seine, il pouvait voir le Palais de Justice et Notre-Dame. Cet usage cruel d'exhiber ainsi le condamné et de le montrer au peuple disparut avec la dynastie des Bourbons. A la place de Grève on substitua la place de la barrière Saint-Jacques, qui fut inaugurée le 3 février 1832 par Desandrieux; au lieu de faire l'exécution à quatre heures de l'après-midi, alors que toute la population est sur pied et peut accourir, au lieu de laisser les crieurs arpenter les rues en annonçant le moment du supplice, on imposa aux agents de l'autorité une discrétion absolue, et l'on fixa l'instant de l'exécution au petit lever du jour..."
- Bog
- 108,95 kr.
-
258,95 - 363,95 kr. - Bog
- 258,95 kr.
-
108,95 kr. " La répression des crimes et délits, la surveillante et l'arrestation des malfaiteurs, incombent à la première division de la préfecture de police, division qui se sépare en deux portions distinctes, la partie administrative et la partie active. Cette dernière porte le nom générique de police municipale; c'est celle que nous connaissons tous, qui frappe nos yeux à chaque instant, qui est en rapports permanents et directs avec la population par son armée de sergents de ville. Ce n'est là, pour ainsi dire, que l'enseigne de la police. Ces agents vêtus d'uniforme, cantonnés dans des postes apparents, arrêtent les malfaiteurs saisis en flagrant délit et ramassent les vagabonds; mais leur principale fonction est d'assurer la sécurité des quartiers par des rondes perpétuelles, de faire observer les ordonnances, de porter aide et secours où ils sont appelés, et en toute circonstance d'avoir recours à la conciliation avant d'employer la rigueur. Les services qu'ils rendent à Paris sont très divers; leur présence dans les rues est seule déjà un bienfait, et plus d'un filou, à la vue du tricorne bien connu, a pris la fuite sans mettre ses mauvais desseins à exécution. La vraie police est moins visible, elle n'a point d'insignes brodés au collet, ni d'épée au côté. Ses agents, qui alors prennent le nom d'inspecteurs, sont vêtus en bourgeois, et leurs brigades, dont les attributions sont sévèrement limitées, exercent leur surveillance sur les malfaiteurs, les garnis et les moeurs. La police municipale et la police administrative sont en relations constantes; elles s'entr'aident, se renseignent, s'éclairent mutuellement, se côtoient sans se mêler, et fonctionnent de telle sorte que chaque section du service actif a son analogue et son correspondant au service sédentaire. Ce système est appliqué à l'extérieur même de la préfecture, dans les divers quartiers de Paris, où le commissaire représente la partie administrative, tandis que l'officier de paix est l'agent direct de la police active. Tous les ordres de recherches sont transmis par le service administratif, tous les renseignements spéciaux sont recueillis par le service actif; le premier donne l'impulsion, le second la suit; en un mot, l'un est la tête et l'autre est le bras. Le but poursuivi est le même: le respect de la loi qui sauvegarde la vie, la propriété et la moralité..."
- Bog
- 108,95 kr.
-
108,95 kr. "... Il est impossible de fixer, même approximativement, le nombre de gens qui, à Paris, se livrent au vol. Quoique l'on connaisse d'une façon presque certaine les repris de justice, les vagabonds, les hommes de mauvaise vie, les habitués des postes de police, on ne peut rien dire de précis à ce sujet, car dans une ville aussi peuplée que Paris l'occasion, la circonstance fortuite, jouent un rôle déterminant. Pour bien des personnes dont la moralité n'a jamais été mise en doute, le vol est un acte violent par lequel on s'empare du bien d'autrui. La définition est vraie, mais fort incomplète, et, si l'on arrêtait tous ceux qui ont réellement volé, les prisons du département de la Seine ne suffiraient point à les contenir. Le vol a mille formes qui, pour n'être pas excessives, n'en sont pas moins coupables. - Le marchand qui trompe sur la qualité ou la quantité de denrées vendues, le négociant qui augmente outre mesure ses prix selon des occurrences exceptionnelles, l'homme qui trouve un objet et se l'approprie, le joueur qui sait avec adresse amener la chance de son côté, le tapissier qui met du varech au lieu de crin dans ses fauteuils, sont autant de voleurs. L'employé qui emporte chez lui et destine à son usage personnel le papier et les enveloppes que son administration lui confie pour le service de l'état est un voleur. Le chasseur qui cache une pièce de gibier en passant devant les agents de l'octroi, la femme qui dissimule des dentelles au douanier, commettent un vol tout aussi bien que le gamin qui enlève une cravate à un étalage; seulement c'est l'état qu'on vole, et c'est un être de raison qu'on traite avec plus de sans-gêne qu'un particulier. Cependant ces mêmes personnes dont la délicatesse fait subitement défaut en présence du trésor public pousseraient de beaux cris, si leur rue n'était pas éclairée, gardée, nettoyée, pavée, si, sous prétexte que l'octroi et la douane ne rapportent plus assez, on supprimait les sergents de ville qui les protègent..."
- Bog
- 108,95 kr.
-
218,95 kr. - Bog
- 218,95 kr.
-
- Bog
- 308,95 kr.
-
328,95 kr. - Bog
- 328,95 kr.
-
- l'octroi et les revenus de la ville
123,95 kr. " Dans les études qui précèdent celle-ci, nous avons essayé de faire comprendre le mécanisme des organes à l'aide desquels fonctionne le grand corps de Paris. Nous avons limité le champ de nos investigations aux services publics qui relèvent directement de la municipalité ou de l'état, et nous avons rejeté avec soin hors de notre cadre tout ce qui était administration particulière, ne voulant sous aucun prétexte avoir à nous prononcer sur la valeur des exploitations privées qui, tout en servant l'intérêt général, n'ont été établies qu'en vue d'intérêts personnels. C'est l'historique des administrations abstraites, pour ainsi dire, que nous avons cherché à retracer, de celles qui, agissant en vertu d'un but supérieur, ont pour mission de subvenir aux besoins moraux, intellectuels et physiques de 2 millions d'hommes. On a pu voir que Paris ne manque pas à sa tâche, que chaque jour il s'efforce d'améliorer, sous toutes les formes, les conditions qui assurent l'existence de son peuple. Une telle oeuvre, si compliquée, si multiple, si énorme, dont les exigences s'accentuent et se renouvellent sans cesse, nécessite de lourdes dépenses, et implique des ressources inépuisables..."
- Bog
- 123,95 kr.
-
108,95 kr. " Le devoir de toute civilisation est de donner aux hommes la plus grande somme d'instruction que leur intelligence et leur état social peuvent comporter. Dans une étude précédente, on a vu comment l'enseignement à tous degrés est distribué à Paris; mais il existe des êtres que l'on croirait destinés à échapper aux bienfaits du développement intellectuel, car ils sont frappés d'une infirmité incurable. Pour ceux-là, il a fallu inventer des méthodes exceptionnelles, afin de leur rendre dans l'humanité la part dont ils semblaient déchus pour toujours. Deux hommes de bien, Français tous les deux, mettant en oeuvre des procédés fort simples, basés sur l'observation, confirmés par l'expérience, sont parvenus à neutraliser les effets d'une maladie localisée qui le plus souvent est le résultat d'un état général défectueux: l'abbé de l'Épée et Valentin Haüy ont des noms immortels; leur génie et leur charité ont fait ce miracle de rendre la parole aux muets et la vue aux aveugles. Profitant avec une patiente habileté des sens qui subsistaient chez ces malheureux répudiés par la nature, ils ont obtenu dans l'organisme une sorte de transposition qui permet aux yeux de remplacer l'oreille, et au toucher de remplacer la vue. Il y a un siècle à peine que ces découvertes ont été faites pour le plus grand honneur de l'esprit humain; elles ont produit de très sérieux résultats que l'on peut constater en visitant l'institution des sourds-muets et celle des jeunes-aveugles..."
- Bog
- 108,95 kr.
-
108,95 kr. " Il y a cent ans, le nombre des Israélites tolérés à Paris ne dépassait pas celui de huit cents; ils restaient soumis à la discrétion du lieutenant-général de police, qui les surveillait de près et les tenait dans une dépendance presque absolue. Leur sort n'avait rien d'enviable, et certaines professions leur étaient interdites; un arrêt royal du 14 août 1774 les exclut des corps d'arts et de métiers; un autre, en date du 25 juillet 1775, leur défend d'exercer le commerce de la draperie et de la mercerie, auquel ils excellaient. Tout gouvernement semblait prendre à tâche de renouveler contre eux la vieille malédiction légendaire que les sectes issues du judaïsme leur avaient infligée. Parqués, soupçonnés, vilipendés, dépouillés, accusés d'égorger les petits enfants, objets des contes de vieilles femmes, épouvantails des nourrices, exposés à toutes les diatribes et à toutes les avanies, ils vivaient humbles, effarouchés, dans l'ombre, et réduits, pour vivre, aux basses industries dont nul ne voulait. Si quelqu'un d'entre eux parvenait à une condition tolérable et même à une haute situation, - Samuel Bernard ? - c'est qu'il avait réussi à dissimuler ses origines. L'existence des juifs était précaire, sinon persécutée; la loi ne leur reconnaissait aucun droit, la société ne leur réservait aucune sécurité, la justice ne leur accordait aucun recours; ils étaient, ainsi que je les ai encore vus dans certaines villes d'Orient, rejetés à part comme des pestiférés. Ils offraient l'exemple de la plus cruelle, de la plus persistante injustice dont l'humanité ait frappé des hommes, et que les siècles aveugles s'étaient léguée d'âge en âge, comme une tradition sacrée. Est-il donc dans la destinée des spéculations religieuses de susciter des luttes impitoyables et des haines sans merci ? La Bible baigne dans le sang des communions qui la révèrent et se sont entre-déchirées, parce qu'elles n'interprètent pas le même texte de la même manière, et n'adorent pas le même Dieu de la même façon..."
- Bog
- 108,95 kr.
-
- La duchesse de Galliera
108,95 kr. " Comme la mythologie, la charité a son olympe; les demi-dieux de la compassion y ont leur place. Depuis le 2 septembre 1431, date du testament par lequel Isabeau de Bavière lègue une somme de 8 sols parisis aux pauvres enfants trouvés de Notre-Dame, jusqu'à nos jours, ils sont nombreux, les bienfaiteurs qui pendant leur vie ou à la minute suprême ont pensé aux vaincus de l'existence et ont laissé de quoi en atténuer les misères. En dehors des sociétés de secours que chaque corps de métier semble s'ingénier à créer dans un dessein circonscrit, des dons considérables ont été faits et ont permis d'ouvrir des asiles où ceux qui ont travaillé sans fruit, avec imprévoyance, avec mauvais vent de fortune, trouvent du moins le repos et l'abri jusqu'à la dernière heure. Des personnalités considérables à plus d'un titre, mues peut-être par le souvenir de M. de Montyon, ont voulu assurer à leur nom une gloire peu fragile, dompter l'action du temps et subsister, par l'ampleur du bien fait, dans la mémoire des hommes. L'amour de soi-même, le désir de se survivre, ont pu être pour quelque chose dans leur générosité qu'importe, si les malheureux y trouvent leur compte et si l'infortune y rencontre le secours qui l'empêche de devenir insupportable ? Quelques donateurs ont poussé la grandeur de l'offrande jusqu'à la magnificence. Ont-ils, par le luxe de leurs fondations charitables, voulu s'excuser du luxe de leur propre vie; ont-ils rêvé d'associer les pauvres à des jouissances jusqu'alors inconnues pour eux ? Je ne sais. Ce problème, assez insignifiant par lui-même, je me le suis posé sans pouvoir le résoudre, en étudiant les oeuvres somptueuses dont je vais parler..."
- Bog
- 108,95 kr.
-
341,95 kr. This is a reproduction of a book published before 1923. This book may have occasional imperfections such as missing or blurred pages, poor pictures, errant marks, etc. that were either part of the original artifact, or were introduced by the scanning process. We believe this work is culturally important, and despite the imperfections, have elected to bring it back into print as part of our continuing commitment to the preservation of printed works worldwide. We appreciate your understanding of the imperfections in the preservation process, and hope you enjoy this valuable book.
- Bog
- 341,95 kr.
-
108,95 kr. " Le monnayage est de prérogative souveraine. C'est en vertu de ce vieil axiome du droit coutumier, vrai encore aujourd'hui, que les communes, les villes, les seigneurs, faisaient battre monnaie autrefois, et c'est contre ce privilège dont chacun se montrait particulièrement jaloux que vint se briser l'excellente volonté de Philippe le Long, lorsque vers 1321 il tenta d'établir dans son royaume l'unité des monnaies, des poids et des mesures, idée simple et pratique qui devait attendre la révolution de 1789 pour triompher et s'imposer peu à peu à la nation tout entière. Bien des rois de France, pressés par des besoins urgents, ont altéré les monnaies, fixant d'une façon arbitraire le taux du marc d'or ou d'argent, et réalisant ainsi des bénéfices considérables au détriment de leurs sujets. Les premiers Valois ont mérité dans l'histoire le triste surnom de faux monnayeurs, et les peuples leur ont souvent redemandé en vain la forte monnoye du bon roy sainct Louys. Soit qu'ils voulussent gagner sur la monnaie, soit qu'ils voulussent au contraire lui assurer un titre et un poids réguliers, les rois ont toujours eu intérêt à faire surveiller de près la fabrication des espèces métalliques; aussi tous les gouvernements l'ont-ils soumise à un contrôle absolu..."
- Bog
- 108,95 kr.
-
108,95 kr. " L'étymologie du mot hôpital (hospes) indique tout d'abord la destination de ce genre d'établissements. A l'époque où l'absence de routes ne permettait de cheminer qu'à cheval ou à pied, où les moeurs primitives des peuples nomades subsistaient encore, où les pèlerinages étaient incessants, le cubiculum hospitale, la chambre d'hospitalité, existait dans la demeure des personnages riches; les municipes, les congrégations religieuses, par charité autant que par intérêt, pour attirer et retenir les étrangers, firent construire des maisons où les pèlerins et les voyageurs trouvaient le gîte et parfois même la nourriture. Ceux qui étaient arrêtés par la fatigue, la misère, la souffrance, par un accident quelconque, y prolongeaient leur séjour. Il est probable que pendant une de ces famines et de ces épidémies si fréquentes au moyen âge 1, le caractère de l'institution se modifia; les hôtes firent place aux malades, et plus d'une maison d'hospitalité devint une maladrerie avec le double caractère d'hospice et d'hôpital..."
- Bog
- 108,95 kr.
-
- La Fondation des frères Galignani
108,95 kr. " Il y a longtemps, - cinquante-cinq ans au moins, - je me promenais, aux environs de Saint-Germain, avec Louis de Cormenin et son père. Timon, silencieux, selon sa coutume, la tête inclinée, nous accompagnait pendant que nous parcourions la route en jouant à saute-mouton. Il s'arrêta tout à coup devant une vaste maison environnée d'un jardin clos de murs: Maison à louer. Il demanda à la visiter, et nous entrâmes avec lui. J'ai le souvenir d'une grande construction divisée par des corridors sur lesquels s'ouvraient des chambres carrelées; cela ressemblait à une caserne ou à un hospice abandonné. Des terrains plantés de vieux arbres l'entouraient; un puits, surmonté d'une ferronnerie assez compliquée, s'élevait dans le coin d'une cour garnie de pavés. Nous suivions Timon, qui examinait toute chose avec soin et ne disait mot. Lorsque cette sorte d'inspection, à laquelle nous ne comprenions rien, fut terminée, il donna un pourboire au portier, puis, reprenant sa marche lente, il se tourna vers nous et nous dit: Ils seraient là très bien, en bon air, dans le voisinage d'une ville pleine de ressources et en marge d'une des plus belles forêts qui existent. - Qui ça ? - Les écrivains pauvres et affaiblis par l'âge; il n'en manque pas, mais il leur manque une maison de retraite où ils puissent vieillir à l'abri du besoin, et qu'un gouvernement intelligent devrait leur ouvrir. Nous écoutions, sans trop nous rendre compte des paroles prononcées par cette voix profonde, qui est une des plus sonores que j'aie entendues..."
- Bog
- 108,95 kr.
-
438,95 kr. - Bog
- 438,95 kr.
-
398,95 kr. - Bog
- 398,95 kr.
-
- Bog
- 463,95 kr.
-
- Bog
- 378,95 kr.
-
438,95 - 813,95 kr. - Bog
- 438,95 kr.
-
438,95 - 607,95 kr. - Bog
- 438,95 kr.
-
- Bog
- 788,95 kr.
-
698,95 - 883,95 kr. - Bog
- 698,95 kr.
-
283,95 - 398,95 kr. - Bog
- 283,95 kr.
-
293,95 - 423,95 kr. - Bog
- 293,95 kr.
-
323,95 - 483,95 kr. - Bog
- 323,95 kr.
-
- Bog
- 238,95 kr.