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Bøger af Louis Simonin

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  • af Louis Simonin
    173,95 kr.

    "La Californie en 1860 - Ses progrès et sa transformation" de Louis Simonin. Ingénieur des mines (1830-1886).

  • - Souvenirs De Voyage, Part 1...
    af Louis Simonin
    230,95 kr.

    This is a reproduction of a book published before 1923. This book may have occasional imperfections such as missing or blurred pages, poor pictures, errant marks, etc. that were either part of the original artifact, or were introduced by the scanning process. We believe this work is culturally important, and despite the imperfections, have elected to bring it back into print as part of our continuing commitment to the preservation of printed works worldwide. We appreciate your understanding of the imperfections in the preservation process, and hope you enjoy this valuable book. ++++ The below data was compiled from various identification fields in the bibliographic record of this title. This data is provided as an additional tool in helping to ensure edition identification: ++++ La Maremme Toscane: Souvenirs De Voyage, Part 1; La Maremme Toscane: Souvenirs De Voyage; Louis Simonin Louis Simonin Bureau de la Revue des deux mondes, 1832

  • af Louis Simonin
    274,95 kr.

    This is a reproduction of a book published before 1923. This book may have occasional imperfections such as missing or blurred pages, poor pictures, errant marks, etc. that were either part of the original artifact, or were introduced by the scanning process. We believe this work is culturally important, and despite the imperfections, have elected to bring it back into print as part of our continuing commitment to the preservation of printed works worldwide. We appreciate your understanding of the imperfections in the preservation process, and hope you enjoy this valuable book.

  • - Esquisses Minéralogiques
    af Louis Simonin
    349,95 kr.

    This is a reproduction of a book published before 1923. This book may have occasional imperfections such as missing or blurred pages, poor pictures, errant marks, etc. that were either part of the original artifact, or were introduced by the scanning process. We believe this work is culturally important, and despite the imperfections, have elected to bring it back into print as part of our continuing commitment to the preservation of printed works worldwide. We appreciate your understanding of the imperfections in the preservation process, and hope you enjoy this valuable book.

  • af Louis Simonin
    108,95 kr.

    La colonisation des Américains sur le Pacifique s'est accomplie loin des regards distraits de l'Europe, et l'on ne voit encore dans la Californie que le pays si tourmenté de la primitive immigration. Je m'attendais moi-même à retrouver dans l'Eldorado la loi de Lynch en permanence, et ces squatters sauvages qui, le revolver à la main, vont s'emparer du terrain d'autrui. J'ai vu un état heureux et tranquille, des routes sûres, des voies maritimes et fluviales sillonnées de navires, partout des usines et des mines en activité et un progrès industriel qui eût étonné un Anglais lui-même, partout l'agriculture florissante, et avec elle le commerce et la marine. D'autre part, le mouvement moral et social de cette lointaine contrée dépasse tout ce qu'on pouvait attendre. Avant d'entrer dans les détails de cette prospérité, avant de montrer la situation régulière et florissante qui a succédé à une situation de désordre et d'effervescence aventureuse souvent décrite ici 1, disons tout de suite quelle en est la principale cause: c'est la grande liberté laissée à l'individu, c'est l'élan spontané du citoyen et son initiative personnelle qui ont seuls produit, avec des éléments d'abord douteux, impure même, les résultats si remarquables de la colonisation du pays de l'or...

  • af Louis Simonin
    108,95 kr.

    On se souvient de l'attention mêlée d'étonnement qu'excitèrent à l'exposition universelle de 1867 les produits métallurgiques de M. Krupp, dont l'usine est établie à Essen, dans la Prusse rhénane. Il y avait là des blocs d'acier du plus formidable modèle; le métal était compacte, homogène, à grains fins, brillants, bien serrés, bien fondus. Tous les métallurgistes s'arrêtaient devant ces échantillons; mais ils les connaissaient de longue date, et déjà dans les précédentes expositions universelles, en 1855 à Paris, à Londres en 1862, ils avaient pu les admirer. Les artilleurs eux-mêmes avaient applaudi aux merveilleux essais de M. Krupp, et plusieurs fois ils avaient remarqué ses gros canons d'acier, dont quelques-uns se chargeaient par la culasse. Le métal employé, le mode de chargement, les dimensions énormes adoptées pour la pièce, étaient autant de nouveautés. En 1867, la Prusse ne s'était pas contentée d'exhiber ses produits métallurgiques. Sûre que l'exploitation des mines est en même temps que l'agriculture un des principaux éléments de la richesse territoriale d'un peuple, elle avait pris plaisir à nous faire connaître, sous une forme parlant à l'oeil, les étonnants progrès de ses exploitations souterraines, surtout pour le minerai de fer et le charbon, qui tous les deux interviennent si grandement aujourd'hui dans la défense des états...

  • - souvenirs de voyage
    af Louis Simonin
    108,95 kr.

    " Au commencement du mois de septembre 1858, je me trouvais à Livourne. Je revenais d'une excursion à Pise, Lucques, Florence et Sienne, ces grandes cités toscanes que nul voyageur en Italie ne saurait se dispenser de visiter, et que j'avais déjà plusieurs fois parcourues. Le port franc de Livourne, sans cesse animé et bruyant, me présentait pour unique spectacle sa population de marchands affairés, venus de tous les coins de la Méditerranée. Tous les jours, vers l'heure de midi, la via Ferdinanda se changeait en bourse en plein vent, où se pressait une foule compacte sur la chaussée et les trottoirs. Dans le quartier nommé la Nouvelle-Venise à cause des nombreux canaux qui le coupent, le mouvement commercial ne le cédait en rien à celui de la rue Ferdinande; mais j'étais un voyageur de passage qu'aucune affaire n'amenait. Aucun navire chargé de blé arrivant des bords du Danube n'était dirigé à mon adresse, et à part la nécessité où j'étais quelquefois de troquer avec perte quelques pièces de 20 francs contre l'affreuse monnaie du pays, je n'avais avec les changeurs juifs de Livourne aucune relation qui pût me retenir dans ce port..."

  • - Souvenirs de voyage
    af Louis Simonin
    108,95 kr.

    " ... Il existe un plan curieux de New-York dressé cinquante-quatre ans après l'occupation anglaise, en 1728. Un remarquable fac-similé en a été récemment obtenu par des procédés héliographiques, et l'on peut le voir suspendu aux vitrines des principaux libraires de la grande cité commerçante. D'un côté sont gravées les armes de son excellence John Montgomerie, capitaine-général et gouverneur en chef des provinces de sa majesté, New-York, New-Jersey, etc. C'est un descendant des compagnons de Guillaume de Normandie, comme l'indique la devise française: garde bien, qui se déroule dans un cartouche au bas de son écu. De l'autre côté du plan sont les armes parlantes de New-York. Le champ est découpé, par les quatre ailes d'un moulin à vent posées d'écharpe, en quatre compartiments égaux dont deux barils de farine occupent ceux de droite et de gauche, et deux castors passants ceux d'en haut et d'en bas. L'écu est flanqué d'un matelot hollandais tenant la sonde, en souvenir de la découverte de l'Hudson, et d'un aborigène, un Mohican muni de son arc. Ces armes de New-York ont été religieusement conservées; le sceau de la municipalité n'en a jamais eu d'autres..."

  • af Louis Simonin
    108,95 kr.

    "... En 1810, comme pour présager les désastres qui devaient marquer la fin du premier empire, les colonies de l'Ile-de-France et de Bourbon tombèrent aux mains des Anglais. En 1814, le traité de Paris ne rendit à la France que la moins importante, l'île Bourbon, aujourd'hui La Réunion. Pour restituer aussi Maurice, les Anglais demandèrent que la France leur livrât en échange les rares comptoirs qu'elle possédait encore dans l'Inde. M. de Talleyrand repoussa les propositions de l'Angleterre, et Chateaubriand a dit dans ses Mémoires qu'il ne savait ce qu'on devait plaindre le plus, ou l'ineptie du ministre anglais qui proposait l'échange, ou l'ignorance du ministre français qui la refusa. Placées comme deux phares pour guider le navigateur sur la route de l'Inde, la route maritime la plus suivie du globe depuis la découverte du cap de Bonne-Espérance, l'île Maurice et l'île Bourbon sont en effet regardées à plus d'un titre comme deux colonies de premier ordre..."

  • af Louis Simonin
    123,95 kr.

    Marseille, depuis le jour de sa naissance obligée de demander à la mer tous ses moyens de vivre, n'a jamais failli un instant à ses destinées. Il n'est aucune ville qui se soit maintenue aussi prospère pendant une aussi longue durée de siècles. Comme elle commande le golfe de Lyon et le bassin du Rhône, elle a été de tout temps un grand port de transit et d'entrepôt, pour la Gaule pendant l'antiquité, pour la Provence et une partie du Languedoc pendant le moyen âge, et plus tard pour la France. Depuis longtemps c'est notre premier port de commerce. Toutes nos relations avec le Levant partent de là, et, depuis que le canal de Suez est ouvert, toutes nos relations avec l'extrême Orient. C'est par Marseille que nous arrivent les soies de la Chine et du Japon, les cotons et les graines oléagineuses de l'Inde, l'étain de Banca et de Malacca, le poivre de Singapore. A l'époque où la France fondait des colonies en Amérique, dans la mer des Antilles, dans l'Océan indien, et où la vapeur n'avait pas encore remplacé la voile, Bordeaux, Nantes, Saint-Malo, plus tard Le Havre, assises sur l'Atlantique au sur la Manche, purent un moment le disputer en importance à Marseille. Aujourd'hui la lutte; n'est plus possible, et le grand port de la Méditerranée, par l'étendue et la disposition de ses quais, par le chiffre de son tonnage et la valeur des marchandises transportées, dépasse de beaucoup tous ses rivaux...

  • af Louis Simonin
    418,95 - 558,95 kr.

  • af Louis Simonin
    363,95 - 468,95 kr.

  • af Louis Simonin
    288,95 - 423,95 kr.

  • af Louis Simonin
    192,95 kr.

  • af Louis Simonin
    245,95 kr.

  • af Louis 1830-1886 Simonin
    392,95 kr.

  • af Louis Simonin
    259,95 kr.

    This work has been selected by scholars as being culturally important, and is part of the knowledge base of civilization as we know it. This work was reproduced from the original artifact, and remains as true to the original work as possible. Therefore, you will see the original copyright references, library stamps (as most of these works have been housed in our most important libraries around the world), and other notations in the work.This work is in the public domain in the United States of America, and possibly other nations. Within the United States, you may freely copy and distribute this work, as no entity (individual or corporate) has a copyright on the body of the work.As a reproduction of a historical artifact, this work may contain missing or blurred pages, poor pictures, errant marks, etc. Scholars believe, and we concur, that this work is important enough to be preserved, reproduced, and made generally available to the public. We appreciate your support of the preservation process, and thank you for being an important part of keeping this knowledge alive and relevant.

  • af Louis Simonin
    148,95 kr.

  • af Louis Simonin
    148,95 kr.

  • af Louis Simonin
    498,95 kr.

  • af Louis Simonin
    900,95 kr.

    Born in Marseilles, Louis Simonin (1830-86) became a leading mining engineer of his age. He travelled widely on government and private commissions, particularly around the United States, where he was held in very high esteem. His posthumous renown rests primarily on this substantial work on mining, first published in 1867. The book is divided into three parts, dealing with coal mining, metal mining, and the mining of precious stones. It covers metallurgy and mineralogy, the history of mining, and techniques, methods and equipment. Bringing the struggles of miners to life, and enhanced by numerous illustrations by some of the leading engravers of the day, the book is regarded as having inspired and informed Emile Zola, whose great novel Germinal (1885) depicts coal miners' lives during a strike. Simonin's work reached a wide readership in his native France, and this English translation appeared in 1869.